Français : Figure 2. Les styles préprogrammés sont cumulables, voire paramétrables (mais alors guère nombreux dans les années 1980). Les outils de texte actuels (au rendu vectoriel comme bitmap,) conservent cet héritage pratique et simplifié (italique, souligné, gras, et parfois “grisé” en noir et blanc). Les superpositions sont automatiques (activables individuellement dans l'éditeur de fonte). En conservant le même glyphe que dans la figure 1, et en y associant certaines formes prédessinées (cadres, lignes…), les combinaisons itératives semblent polymorphes ; le pixel art, autant procédural qu'économique, s'en trouve aisément démultiplié. Une mise en couleurs reprendrait ces principes.