Identifier: histoirenaturell17buff_0 (find matches)
Title: Histoire naturelle des oiseaux
Year: 1785 (1780s)
Authors: Buffon, Georges Louis Leclerc, comte de, 1707-1788
Subjects: Birds
Publisher: Paris, De l'imprimerie royale
Contributing Library: Harvard University, Museum of Comparative Zoology, Ernst Mayr Library
Digitizing Sponsor: Harvard University, Museum of Comparative Zoology, Ernst Mayr Library

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rès-crochu,eft en effet un hcc de proie -, le croc dela partie fupérieure & la gouttière tronquéequi termine linférieure, font dune couleurjaunâtre, & le refte du bec avec les deuxtuyaux des narines font noirâtres dansrindividu mort que nous décrivons: maison affure que le bec eft rouge par-toutainfi que les pieds dans loiféau vivant (c);îe plumage du corps eft dun blanc-cendré;le maateau eft dun cendré-bleu, & lespennes de laile font dun bleu plus foncé& prefque noir, les plumes font très-ferrées, très-fournies & garnies en-deflbusdun duvet épais & fin, dont la peau ducorps .eft par-tout revêtue. Les Obfervateurs saccordent à donnerîe nom de haff-hen ou hav-hejl ^ chevalde mer à cet oifèau, & ceft, félon Pon-toppidan, c< parce quil rend un foa5?femblable au henniflement du cheval,15& que le bruit quil fait en nageant,fc j. 11 I ■ Il II I ■ Il ■ 11^■ I y (c) CoiIe(ftjion académique, citée ci-denu^ Fl. XJC.paç . 4 36.
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r. f: p>: t ii kl ^ «v?^/^< • dés Pltrets, 43^ approche du trot de ce quadrupède ( d) pymars il n eft pas aifé de concevoir commentun oifeau qui nage fait le bruit d un chevalqui trotte, & neft-ce pas plutôt à caufede la courfe du pétrel fur Teau, qu on luiaura donné cette dénomination ? le mêmeauteur ajoute que ces oifeaux ne manquentpas de fliivre les bateaux qui vont à hpêche des chiens de mer, pour attendreque les pêcheurs jettent les entrailles deCCS animaux, il dit quils sacharnent auflifur les baleines mortes ou bleiîées dhqu elles furnagent, que les pêcheurs tuentces pétrels un à un à coups de bâtons, fansque le refte de la troupe défémpare :ceft daprès cet acharnement que M. Ro-îandfon Martin, leur applique le nom demallemucke ; mais, comme nous Tavonsdit, ce nom appartient à un goëiand. On trouve ces pétrels cendrés depuisie foixante-deuxième degré de latitudenord 5 jufque vers le quatre-vingtième vils volent entre les glaces de ces

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