Identifier: lapaysanepervert04rest (find matches)
Title: La paysane pervertie, ou Les dangers de la ville : histoire d'Ursule R**, sur d'Edmond, le paysan, mise-au-jour d'après les véritables lettres des personages ...
Year: 1784 (1780s)
Authors: Restif de La Bretonne, 1734-1806 Binet, Louis, 1744-1800? Berthet, Louis Giraud, Antoine Cosme, b. 1760 Le Roy, Jacques, b. 1739
Subjects: Engraving, French
Publisher: www.flickr.com/photos/internetarchivebookimages/tags/book...
Contributing Library: Boston Public Library
Digitizing Sponsor: Boston Public Library

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, Ilfc découvre,& ccft Edmond que je vois!...Ah! ce nom, (i-chèr , me déchire le cœur !... Où est-il ? où est-il ?... Avoir sa grâce , & ne pas se m.oncrer ! ne pas reparaîtra 1... Il sera mort quel que-part,de honte , de douleur , de besoin ! De tous les maux dont la nature peut accabler un misérable Mortel, auquun , auquun na - manqué k mon malheureus Frère ?..• Auquun ne ma-été-épargné,à-moi-méme. Infortunée, hors la mort,que mon Frère a~trouvée... Je le vois bien;ccil notrefangqu il faut aux Mânes paternelles : les deux Parricides doivent périr : ce que jai-souffert, n'était qu'une horrible qiieilion avant le supplice ; mais je suis-condamnée, ma sentence est-lue ;je vois, je vois un Juge sévère qui me la montre, ôi derrière-lui un Bourreau.... * Sujet ^ «îe la *Ahl Dieu! cclt encore Edmond XXXIII. •S Eftampe, que j*ai-cru-voir!... En*quel état afFrcus!froW^ice privé dun œil & dun bras ; horrible*Partie. ITient dcngureî.,. me montrant par ks
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VIIL-« Partie. 219 chei^eusîatêterang1ante...de ma Mère!.., ^ Je ne suis pas à moi, chère Sœur, -dès que je m'occupe de ces idées, que la présence seule de mon Fils a le pouvoir de bannir : mon imagination s'alu-me, &je crois voir tout ce que je pense.,0On m*a-pourtant donné quelques nou-velles consolantes : Ton Mari..,., ah Iceft l'honneur de notre nom, comme j'en suis la honte i ton Mari a-tout-* furmonté par sa venu!..».. Le cher Bertrand, qui te remettra cette Lettre, te dira comme s'est-faît mon mariage. Fêtetriile&lugubre !...J'étais en-deuil : mes larmes ont-coulé, presque.des sanglots mont-échappé aupléd des autels. :¥ La cérémonie a-été , * ^i-^ * de ia publique : m.® la Comtesse ^ ayeule de Kixxiv.me mon Fils, 1 a-voulu a-cause de l'Enfant ;les deux Familles du Comte & de la Comtesse y étaient, avec tous leurs Amis& toutes leurs Connaissances. Le cher Enfant était beau comme un Ange ; - S 2, / aïO PjirSANE PERVERTIE, toi)t îe monde l'admirait; en

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