Identifier: ladislasdepaalun00laza (find matches)
Title: Ladislas de Paal, un peintre hongrois de l'École de Barbizon
Year: 1904 (1900s)
Authors: Lázár, Béla, 1869-1950 De Paal, Ladislas
Subjects: De Paal, Ladislas
Publisher: Paris, Librairie de l'art ancien et moderne
Contributing Library: Getty Research Institute
Digitizing Sponsor: Getty Research Institute

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lespace, on lavaitramenée à des formules banales. On niait carrément que le but désiréfût précisément la conception individuelle de ce travail. La mise enjxiÇje a des règles, prétendait-on, il faut les suivre. Oui, il y a lieu de prendre en considération les lois fondamentales,justement au point de vue de leffet artistique : il est nécessaire defaire sentir la liaison intime entre les diverses parties du tableau ; ilnest pas permis de sacrifier leur étroite harmonie ; nous ne pouvonsexprimer nos sensations quen établissant léquilibre dans leurs forcesimmédiates. Mais pour atteindre ce but, pourquoi faut-il penser en LA NATURE. 135 lignes? Nous lavons dit, la vision de lartiste est très individuelle. Lundécompose tout en lignes, lautre serre le tout en masses lumineuses. A lécole de Vienne cest la composition en lignes qui dominait.Dans les cartons de Ladislas de Paâl, ce sont les principes tantôtde construction en pyramide qui se font valoir, tantôt de celle en
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66. SCHÈME DE COMPOSITION, (lll.) rejets de droite à gauche. Larabesque des lignes de ses œuvres decette époque fut exécutée dans lesprit traditionnel de Poussin etde Claude Lorrain. Il morcela la nature de façon à pouvoir établir ladistribution en trois plans. De hautes coulisses latérales, en repous-soir, le plan central analysé richement, afin que les couleurs lavées dufond fissent sentir la ligne de lhorizon. (Fig. 64.) Ce schème, conforme 136 LA NATURE. aux effets de la statique des anciens, donnait aux formes un aspectrigide, même lorsquil sagissait de représenter les manifestations desfoi ces de la nature (voir le Déluge du Poussin). Ruskin aussi pro-clama que seul est grand lart qui représente le repos. Il exclut ainside lart les manifestations puissantes des éléments. Par bonheur, tousles artistes neurent pas le même sentiment que lui. Déjà les artistes hollandais sétaient intéressés à ces manifestationsde la nature ; RuysdaèLa trouvé même des eff

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